A toi…

Lorsqu’une ombre noire me couvre

J’avance, j’avance, avance avance

Sur un chemin qui ne mène nulle part

Sur n’importe quel sentier, au hasard

Je cherche, je cherche, cherche, cherche

Dans ma tête, dans mon coeur

Enfermé dans un couvent, une soeur

Un pied devant l’autre

Une larme après l’autre

Mais les coups sont bien donnés

Ils vous coupent le soufflé

Vous étouffent

Seul la vue de tes yeux me libère

De cette tristesse qui me découvre

De cette peur qui me desespere

Le paradis, je le devine dans tes yeux

Lorsque no regards se croisent.

Cigana Ro
Enviado por Cigana Ro em 09/02/2008
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