A toi…
Lorsqu’une ombre noire me couvre
J’avance, j’avance, avance avance
Sur un chemin qui ne mène nulle part
Sur n’importe quel sentier, au hasard
Je cherche, je cherche, cherche, cherche
Dans ma tête, dans mon coeur
Enfermé dans un couvent, une soeur
Un pied devant l’autre
Une larme après l’autre
Mais les coups sont bien donnés
Ils vous coupent le soufflé
Vous étouffent
Seul la vue de tes yeux me libère
De cette tristesse qui me découvre
De cette peur qui me desespere
Le paradis, je le devine dans tes yeux
Lorsque no regards se croisent.