NOUS AURONS POUR NOUS L' ÉTERNITÉ ( FRANCÊS E PORTUGUÊS)
Nous aurons pour nous l'éternité
Dans le bleu de toute l'immensité
Edith Piaf
DON ANTONIO MARAGNO LACERDA
Prêmio UNESCO/poemas/jornal
www.jornaldosmunicipios.go.to
jornaldosmunicipios@ig.com.br
Il semble que ce a été encore hier.
Que j'ai commencé à écrire à la foule.
Sourde. Ce a été le temps dernier.
N'est pas ceci ce que je voulais.
Ce serait Cette performance précipitée.
Le divertissement de lecteurs dans la nuit froide ?
Mais mon ambition ne connaît pas de limites.
J'ai une lectrice, qui aime le mien tourner.
Qu’incroyable exploit est celle-ci ?
Pour elle je vais au fond de la mer.
Si elle continue à m'aimer. Bonsoir.
Pour elle je fondrai le pôle.
Si elle, me donne le courage et l’audace.
Pour elle je monterai au soleil, et je ne perdrai pas le fil.
Sera toujours mon feu du jour. Bonjour. Don.
Pour elle je serai un Nautilus, navire de papier.
Je plaisanterai des ouragans, et de la quiétude. Pardon.
J'apprendrai à dactylographier si elle voulait.
Parce qu'elle sera toujours la lumière de ma nuit.
Mes poèmes, dans des rues de Montpellier.
Toujours je lui donnerai des phrases d'amour. Enchantement.
Étonnement. Sera transformé en aube.
Parce que j'ose l'aimer dans cet appareil des colis.
Où la Terre est simple auberge.
Où bote amour vient de l'éternité. Paradis.
Teremos para nós a eternidade
Dans le bleu de toute l'immensité
No azul de toda imensidão
Edith Piaf.
DON ANTÔNIO MARAGNO LACERDA
Prêmio UNESCO/poemas/jornal.
Parece que foi ainda ontem.
Que comecei a escrever à turba.
Surda. Tem sido o tempo passado.
Não é isto o que eu queria.
Seria.Este desempenho apressado.
O passatempo de leitores na noite fria?
Mas minha ambição não conhece limites.
Tenho uma leitora,que gosta do meu versar.
Que incrível façanha é esta?
Pôr ela vou ao fundo do mar
Se ela continuar a me amar.Bonsoir.
Pôr ela derreterei o polo.
Se ela, me der alento e ousadia.
Pôr ela subirei ao sol, e não perderei cordel.
Será sempre o meu lume do dia.Bonjour.Don.
Pôr ela serei um Nautilus, navio de papel.
Zombarei dos tufões, e da calmaria.Pardon.
Aprenderei a digitar se ela quiser.
Porque ela será sempre a luz da minha noite.
Meus poemas, em ruas de Montpellier.
Sempre lhe darei frases d'amor. Encanto.
Espanto.Será transformada em alvorada.
Porque ouso ama-la neste aparelho colis.
Onde a Terra é mera pousada.
Onde nosso amor vem da eternidade. Paradis
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