Os amorritas, Yavé, Javé e Jesus Cristo como reencarnação de ambos.

As tribos Amorritas provenientes do deserto da Arábia, ano 2000 a.C, chegaram a Mesopotâmia, estabelecendo na cidade da Babilônia, denominados de babilônios.

Constituíram-se politicamente na figura de um rei Hamurabi, expandindo seus domínios por toda Mesopotâmia, do golfo Pérsico a Assíria.

Tinham como deus Marduque, a fé unificadora da cultura dos babilônicos.

Tribos semíticas reagiram a unificação cultural, política e religiosa, entre as tribos estava o futuro povo semítico, posteriormente, transformou-se na formação do povo judeu.

Na liderança Yavé, estabelecido uma terrível guerra, morto o grande líder militar e religioso, transformado em espírito, nasceu o primeiro deus judaico.

Ao chegar na terra prometida a cidade de Jerusalém, na cognição aramaica, Yavé transformado deus em espírito, com a etimologia de Javé, todavia, o espírito do mesmo homem.

Com Jesus Cristo, o deus revelado pelo cristianismo, a partir do Mistério da Santíssima Trindade, decreto do Imperador Constantino.

Com efeito, Maria a mãe de Jesus ficou grávida de Javé que historicamente é o mesmo deus do povo semítico no mundo babilônico, Yavé.

Portanto, Jesus cristo é a reencarnação Javé, do mesmo modo, de Yavé, um comandante militar que lutou até a morte contra o domínio dos povos amorritas.

Deste modo, para quem é conhecedor da história muito difícil de acreditar em Jesus Cristo como deus.

Le souvenir du moment perdu.

Si je le pouvais, je remonterais dans le temps, pour comprendre ce moment que l'avenir a détruit.

Je voulais voir comment le rêve volait comme un nuage que le vent emportait.

S'il avait un certain pouvoir, il aurait empêché la terre de tourner, la luminosité du soleil continuerait de faire du passé le présent.

Si je pouvais faire de ce moment ce moment pour toujours, maintenant je sens la distance, comme si la réalité n'était pas le passé.

Comme ce serait bien si le temps s'était vraiment arrêté.

Maintenant je sais que l'avenir ne peut jamais être le passé, je voulais regarder l'infini et embrasser l'imagination.

Sans jamais partir, oubliant le temps qui était il y a longtemps, comme si demain le soleil pouvait se lever à ce moment.

Si je le pouvais, je revivrais exactement le vieux rêve, peut-être le seul construit sur la cognition, représenté dans l'interprétation.

L'herméneutique des illusions.

Malheureusement, le temps a passé en prenant l'âme prise dans les ondulations des souvenirs.

Maintenant, je sens seulement le désir de la lueur perdue dans le souffle d'un cœur brisé.

S'il avait un quelconque pouvoir, il ferait de cet instant l'instant répété dans les hauteurs de l'enchantement.

J'oublierais le désir car le présent serait l'éternité des émotions stockées dans une mémoire formatée.

Si je pouvais maintenant, je ne serais jamais parti, je ne sais pas si je peux expliquer les métaphores de manière exégétique.

Cependant, s'il revenait, il ressentirait la splendeur du sentiment enchanté.

Le bonheur serait la passion dont on se souviendrait dans l'essentialité d'une grande affection.

Cependant, rien de tout cela n'est possible, sauf la mémoire perdue dans l'éclat de l'âme.

Loin comme le désir qui ne justifiait pas l'avenir, le bonheur est un instant solitaire perdu dans la mémoire qui s'est éloigné des moments mémorisés.

Edjar Dias de Vasconcelos.

Edjar Dias de Vasconcelos
Enviado por Edjar Dias de Vasconcelos em 20/02/2020
Reeditado em 21/02/2020
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